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[affixes]

(document en bas)

 


Orbitants amis,

Ainsi que je vous en faisais part dans l'ercice précédent, je n'ai manifestement, sans agérer, aucune envie de me pliquer au sujet des raisons altantes qui m'ont amenée à vous réunir ici, ostoses sans colonnes, ce soir, très actement à 23 h 43, ce qui me donne trêmement peu de temps citant pour vous faire part de manière péditive de ce pourquoi je vous ai amenés ici et c'est pourquoi je vous horte, en fait, je gige, sans bien entendu vous onérer de lire en un temps record l'emplaire empt d'erreurs comme d'cuses que j'ai fait déposer sur votre écrable fauteuil otique, votre trême attention.

Vous me sentez tatique, avec raison, totalement aspérée, et je compte sur cet échange unilatéral afin d'acerber agérément votre cellent sens de traction des sentiments plosifs qui m'animent et ce, tout près. Vous aurez dès lors ploré cet quis document de 739 pages, pourtant non tensif si on considère la pulsion qui vous attend toutes et tous à la fin de la position de la situation ce qui ne saurait tarder vu le délai non tensible qui prendra échéance dans quelques purgeantes minutes.

Vous ne prendrez pas vos affaires au salon, mais vous cuterez abrupto. Oui, je parle ici de communion, d'termination, d'tradition, d'patriation, d'il, d'piation pour tous ces gestes d'ploitation orbitamment multipliés ces derniers jours à un rythme, au demeurant, ponentiel, cédant toute pertise imaginable.

Voilà l'citant décompte des secondes... 13, 12, 11... Au son de l'pectoration, je vous clus, vous et vos créments, vous tirpe de ma vie, vous pédie pressément vers la sortie avec une réelle citation, vous qui en fûtes.

Votre trême ulcérée, Xavière

© Zéo Zigzags 2012

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