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le babel - Novembre, le jardin d’hiver et « les affaires dont se vantent les hommes » : tragédie en cinq actes.
Dans le cadre des Vases Communicants, j'ai le plaisir d'accueillir pour décembre Joseph Leritz, dit le babel
Voici sa participation, avec, au début, la contrainte commune que nous avons adoptée.
Ma participation se trouve ici.
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Commentaires
2emmanuelle grangéDimanche 9 Décembre 2012 à 12:38Merci pour ce partage, cher Joseph.
« La buée note en traïnée le prénom de la même peine, » ...magnifique
« Chaque année, le tôt et le tard se rapprochent à s’en aboucher. » Très joli solstice
Ton poème est à lire plusieurs fois tant il est dense. Les images, sitôt formées, sont défaites et remplacées par d'autres, ce que je trouve très intéressant.
Zéo ¦-)
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Pas pire en toutttt, ce le babel!
Vous faites une belle paire. Bravo!